« Quelques axes théologiques autour de l’inclusivité et de la vie communautaire en Église »


Cette conférence est la version écrite de ce qui s’est vécu à la paroisse de Bussigny, le samedi 23/11/2019. Elle n’est, forcément, que le reflet de ce qui s’est vécu de fort et de beau – une émission très bien tournée s’en fait l’écho là.

Bonjour à toutes et à tous, quand je vous vois, quand je réalise que cette journée a bien lieu, je fais mienne cette expression : « ils et elles ne savaient pas que c’était impossible, alors ils et elles l’ont fait. »

Fidèle à la commande qui m’a été faite, je vais essayer de développer les fondements théologiques inclusifs existants, notamment en faisant un détour rapide par les théologies qui peuvent coloniser notre manière de produire une nouvelle théologie.

Bien que beaucoup d’entre vous me connaissent, je vais introduire mon propos, qui me permettra aussi de rendre honneur aux pionniers-ières avant moi.

Il y a plus de quinze ans, jeune théologienne à la faculté de théologie protestante de Strasbourg, ma route a croisé celle d’un étudiant affable, engagé et absolument déroutant. Ce dernier ne cessait en effet de dire, au cours des échanges que nous avions « moi, en tant que gay chrétien », comme si cela était naturel et allait de soi. Il s’agit de Jean Vilbas, fondateur du Carrefour de Chrétiens Inclusifs[1], conservateur de bibliothèque dans le Nord et docteur en théologie, auteur d’une thèse fondatrice : « Le mouvement chrétien inclusif et sa théologie de l’hospitalité[2]. » C’est sur la base de ses travaux, puis des miens, alimentés par des expériences ecclésiales et péri-ecclésiales, que je vais introduire la grande diversité de la théologie inclusive.

Un mot peu connu…qui dévoile une réalité glaçante

Très connu et fréquemment utilisé, outre-Atlantique, le concept d’inclusivity, traduit en français par inclusivité ou inclusion, désigne tout à la fois une théologie, une pratique et un mouvement … Le terme, utilisé en Église notamment, décrit d’abord un refus de toute forme d’exclusion, au nom de l’Evangile. Utilisé dans sa forme positive, il prône l’accueil inconditionnel de toutes et de toutes, notamment dans le contexte des communautés de foi. Cet accueil n’est pas un principe « passif » qui prônerait une tolérance peu coûteuse à mettre en place « nous accueillons tout le monde » mais un principe actif qui annonce, proclame, défend et promeut cet accueil. Dans le contexte des communautés de foi, plusieurs groupes minoritaires ont, de tout temps, été peu ou pas accueillis : les femmes seules, surtout si elles étaient filles-mères ou émancipées des tutelles masculines ; les personnes libre penseuses ; les personnes porteuses ou douées de handicaps ; les personnes sans réseau social fort, étrangères par exemple et enfin, les personnes LGBTI. Le 20ème siècle, en Occident, a fait émerger les droits individuels ; la prise en charge de personnes handicapées ; la reconnaissance d’une forme de pluralité de pensée…et pourtant, les personnes LGBTI ont continué à être invisibilisées, considérées comme pécheresses ou malades.

Un outil puissant

L’inclusivité, vous l’aurez compris, est un outil puissant de mise en œuvre de mesures visibles et irrévocables d’accueil de la diversité dans la société – où elle s’appelle souvent inclusion. Aujourd’hui, nous l’abordons tout particulièrement sous l’angle du refus de l’exclusion dont peuvent être victimes au sein des églises les personnes lgbti[3]. De fait, les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexes, c’est à dire des personnes dont l’identité de genre ou l’orientation sexuelle n’est ni cisgenre[4] ni hétérosexuelle[5], continuent à être considérées comme des personnes dont la perception de leur genre ou dont l’orientation sexuelle est troublée, pécheresse voire à guérir. Le catéchisme catholique, par exemple, est extrêmement clair à ce sujet en parlant de « sexualité intrinsèquement désordonnée ».

Revenons au terme « inclusivité » : de manière plus positive, il affirme le caractère inconditionnel de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ. La théologie de l’inclusion est une théologie de la grâce, qui se traduit par le choix délibéré de rendre visible la généreuse hospitalité qui en découle, en particulier pour les personnes qui ont été repoussées à la périphérie des églises. L’inclusivité n’est que la réponse nécessaire, urgente et peu répandue, actuellement, à l’exclusion et la discrimination généralisées dont sont victimes les personnes minorisées et silenciées par un système oppressant et peu sensible à la diversité de la Création. Être inclusive et inclusif, cela signifie concrètement, pour les chrétien.ne.s, d’identifier, de nommer, de refuser et de combattre les paroles, les comportements, les dogmes et les interprétations bibliques qui encouragent la stigmatisation, la discrimination, le rejet ou l’invisibilisation des personnes LGBTI.

Une démarche non-exclusive

Il est fréquent que l’on envoie à la figure des chrétien.ne.s inclusifs les remarques suivantes : « il n’y a pas que les personnes LGBTI, pensez aussi aux handicapé.e.s, aux gens isolés, aux migrant.e.s. » De fait, l’inclusivité vise à élargir toujours davantage l’espace de sa tente, à s’interroger collectivement sur notre capacité à ne pas laisser des croyant.e.s sur le parvis. Cela demande parfois des aménagements : un accès pour personnes à mobilité réduite, une boucle auditive, un espace d’écoute pour les personnes en grande difficulté, un vestiaire…

Pourquoi mettre l’accent sur les personnes LGBTI quand on parle d’inclusivité ? Nous partons d’un constat simple : l’homophobie et la transphobie religieuses sont, encore maintenant, tellement visibles et destructrices qu’il semble évident de commencer là, d’autant qu’elles s’appuient pour une grande part sur des interprétations idéologiques de six ou sept passages bibliques, appelés les textes de Terreur. Comme l’explique le pasteur inclusif Stéphane Lavignotte[6], la première étape est celle du langage, de l’utilisation des mots. C’est par un grand travail de verbalisation – qui sait faire la différence entre transgenre, travesti.e, intersexe ? – que les membres d’une communauté grandissent ensemble. En nommant correctement les gens, dans leurs situations personnelles, tout en osant poser des questions ou énoncer des réticences personnelles, alors certaines incompréhensions tombent et petit à petit, le chemin se fait. Cette méthode, qui demande du temps et de la patience, est applicable pour toute catégorie de la population mise aux marges.

Les théologies qui colonisent nos théologies inclusives

Il s’agit de se demander, ici, quelles sont les théologies qui continuent à coloniser nos théologies inclusives en construction. La première étape d’une théologie inclusive étant celle de la déconstruction, et puisque je n’ai que 45 minutes, nous n’irons pas jusqu’au bout du raisonnement.

  • La théologie naturelle ou de la création, brillamment condensée par la formule « C’est Adam et Eve et pas Adam et Steve ». Cette théologie tient au fait que le premier livre soit celui de la Genèse et qu’il ait acquis un statut canonique très particulier auprès des chrétien·ne·s. Même les plus éloignés de la foi connaitront cette histoire mythologiques et archétypales de création de l’Humain et, surtout, de l’apparition des deux genres masculins et féminins. Tandis qu’une lecture inclusive de ces textes s’attachera à y comprendre le dessein d’amour de Dieu pour l’Humanité et son propre besoin d’alterité, une lecture littéraliste y verra une leçon biblique de biologie chrétienne. L’existence de personne agenre ou intersexe ne rentre évidemment pas dans cette théologie, qui en minimise l’existence, les invisibilise ou range leur existence dans la catégorie de la chute. La difficulté réside évidemment dans le fait que notre théologie en est imprégnée avec des expressions comme « sœur et frère » et qu’il est très rare qu’on commence le culte en rajoutant à « bienvenue chères sœurs, chers frères » « et chères personnes agenre et bigenre ». Par ailleurs, notre insistance à rappeler les deux genres (on nait garçon ou fille, exemple massue) mais aussi notre tendance à accentuer ce qui fait la beauté de chaque genre (par exemple la force des hommes ou la douceur des femmes, qui fonde la théologie essentialiste).
  • La théologie de l’altérité en est un corollaire. Stéphane Lavignotte en avait tiré une blague fameuse sur la théologie de l’haltérité : faire de la gonflette intellectuelle ! Cette théologie est en fait une théologie génitale, qui part du principe que nos organes sexués secrétant des hormones sont ceux qui dessinent notre place et destin sur cette terre. Lors d’une récente discussion avec un pasteur camerounais, je lui ai fait valoir que nous n’avions pour seule différence reproductrice l’utérus (et encore, on pourrait estimer que son pendant est la prostate !) Je ne sais pas s’il s’en est remis. Cette théologie de l’altérité est en fait une théologie essentialiste qui fait le lit de la théologie complémentariste. Homme et femme seraient complémentaires non pas au niveau individuel mais au niveau genré : la femme a ce que l’homme n’a pas : un utérus et les « hormones du care » et l’homme a ce que la femme n’a pas : un pénis (ce qui est faux puisqu’il s’agit du clitoris) et les « hormones de la chasse ». Il s’agit donc que ces deux légos se rencontrent et s’emboîtent, pour porter du fruit.
  • Enfin, la théologie de la fécondité. Cette théologie prend très au sérieux les versets bibliques autour de l’engendrement des enfants, de la multiplication et des impératifs de peuplement. Si les peuples moyen-orientaux étaient constamment inquiets de leur survie numérique, la situation a drastiquement changé maintenant. Bien que le stigmate de stérilité reste lourd dans de nombreuses cultures, cette théologie tend à diminuer en contexte occidental, contrairement aux deux autres.

Un pont fécond avec les luttes féministes

Paradoxalement, ces théologies, omniprésentes dans nos cultures d’Eglises, nos théologies et nos liturgies, m’ont permis de prendre conscience de mes présupposés et d’avancer dans ma lutte féministe.

Par exemple, je suis militante pour l’allaitement au sein, tout simplement parce qu’il n’y a rien de meilleur pour un bébé que le lait de sa mère. En plus d’être un facteur facilitant dans la relation mère/bébé, il est zéro déchet, il protège le bébé et la mère de nombreuses infections. Ma porte d’entrée est celle de l’empowerment des femmes, leur capacitation afin qu’elles ne perdent pas leur propre autonomie alimentaire par la faute du marketing et des discours discréditant la force du lait maternel. Ce faisant, mon féminisme peut sembler essentialiste ou différentialiste.

Il en va de même pour chacun·e. Parfois, en vantant la beauté innée des femmes ou la force fabuleuse des hommes, par des petites phrases, on peut faire du bien (un compliment est toujours bon à prendre) ou renforcer une oppression ou stéréotype. Parfois, c’est plus grave car ce sont des mots qui inscrit dans nos brochures et qu’on écrit sur nos sites internet.

Une théologie qui se construit en dépassant, traversant ou évitant les écueils

Il s’agit aussi de se demander quels sont les écueils sur ce chemin de construction d’une théologie. Je vais en lister quelques-uns, sans hiérarchie, simplement pour vous tranquiliser lorsqu’ils seront là : « ah, je ne suis pas seul·e ! »

  • Élaborer de nouveaux schèmes théologiques débouche forcément sur des actes. Aimer, c’est agir. De paroles et d’actes publiques découlent forcément des ré-actions, des différents et parfois des conflits. A l’Antenne Inclusive, nous essayons (sans y réussir) d’adopter trois positionnements : ne pas éviter les conflits, ne pas les provoquer, ne pas les subir. Par ne pas éviter les conflits, je pense au manifeste que nous avions sorti le 21/11/2013. Il était une façon très claire de répondre aux insultes que l’on essuyait de la part de nos détracteurs qui nous accusaient de vouloir « foutre en l’air » l’église en y faisant entrer des pédophiles et des pécheurs. C’est une réponse théologique à des insultes.

Par ne pas provoquer des conflits, je pense à l’attitude qui a été la nôtre lors de l’annonce de la possibilité pour les pasteurs de bénir des couples de même genre. Nous avons fait une publication facebook très reconnaissante mais sans triomphalisme. Pas de communiqué de presse non plus. Notre théologie n’est pas celle de la victoire mais de l’action de grâce.

Pour autant, nous ne voulons pas subir les conflits et nous répondons toujours aux attaques par des demandes de rendez-vous, d’explications et de dialogue. Lors de Protestants en France, j’ai explicitement dit à la journaliste que PERSONNE chez les évangéliques du CNEF – qui boycottaient l’événement du fait de notre présence,  n’était venu demander un dialogue ou un échange. Notre théologie est une théologie de la fierté d’être qui nous sommes.

  • L’isolement, la stigmatisation

Au tout début, lors du démarrage des activités, nous avons été stigmatisés. Un exemple : il y a cinq ans, la Direction de l’Église avait réservée la salle paroissiale de la paroisse Saint Guillaume pour faire passer un examen aux prédicateurs laïques le jour de la Pride. Une fois qu’ils ont réalisé que nous serions dans les parages avec nos pancartes, ils ont annulé pour « éviter aux candidat·e·s de tomber sur notre groupe militant ». Cette même Direction d’Église, par le biais de son président, a déclaré, quelque temps après, que l’UEPAL était sensibilisée à l’inclusivité, la preuve : « nous avons une Antenne Inclusive » ! Comme quoi, les mentalités changent plus vite qu’on ne le pense.

Concernant l’isolement, nous avons entendu, comme principal argument : « je ne suis pas militante » ou bien « vous prenez des risques inutilement » ou bien encore « laissez les temps faire son œuvre. »

Notre ligne a toujours été de nous en référer aux luttes abolitionniste, anti-raciste, féministe et, évidemment, les luttes émancipatrices LGBTI. Nous avons estimé que par respect pour la lutte de nos prédécesseurs, nous ne pouvions pas compter sur nos privilèges blancs pour attendre que les choses avancent d’elles-mêmes.

  • La question des privilèges (blancs) m’amène à aborder la question de « trouver sa bonne place comme allié·e ». Nous sommes nombreuses et nombreux à être des allié·e·s et des pionniers-ères en pastorale inclusive. Et cela s’explique par plusieurs facteurs : les pasteur·e·s LGBTI ont été obligé·e·s à la discrétion, au mieux, et au placard, au pire. Ces injonctions ont paralysé des gens dans leur vie personnelle et professionnelle. Les allié·e·s sont nécessaires pour créer une barrière de protection puis un couloir de sécurité et enfin une base arrière de repli. Mais notre positionnement est souvent questionné, et c’est tant mieux. Car des allié·e·s ne vivent pas les mêmes discriminations au quotidien que des personnes LGBTI, c’est évident. Pour autant, ma casquette de fille de gay et de féministe m’amène à questionner aussi cette posture qui consiste à balayer nos propres oppressions du revers de la main en décridibilisant notre engagement car nous ne sommes pas LGBTI. Nos oppressions ne sont pas équivalentes et nous ne pouvons pas « parler pour ». Cependant notre théologie inclusive nous amène à croire en un Royaume pluraliste et réconcilié dans lequel nous parlons toujours « avec » et où nos luttes peuvent être partagées.
  • La place du Queer. Ces dernières années, la théologie queer, très présente et connues dans les pays de langue anglaise et allemande, a fait son apparition discrète dans nos Églises. Un chapitre entier, dans l’ouvrage Accueil Radical, lui est consacré. Cette théologie se situe, résolument, aux marges de toutes théologies et constitue essentiellement une théologie de la déconstruction et du surprenant. Sous bien des aspects, elle est salutaire pour nos théologies classiques, empêtrées dans leurs évidences, leur langage et leurs options. La difficulté se trouve au niveau, justement, du décalage cherché et produit. Nos communautés paroissiales en chemin d’inclusivité sont pétries de bonne volonté autour de l’accueil de l’autre et de l’amour inconditionnel. Une forme de paternalisme peut s’entendre « les pauvres, faut arrêter de les discriminer » ou encore « finalement il vaut mieux des papas gays qu’un couple hétéro maltraitant ». Les tenants de la théologie queer sont parfaitement au clair sur une chose, et il faut le leur laisser : cette posture d’accueil est pétrie de compassion mais oublie un présupposé essentiel. On s’accueille mutuellement dans nos vies. Dans l’Église, on est toutes et tous accueilli·e·s par une même personne : Jésus. La théologie queer est donc une théologie qui renverse nos approches et utilise souvent un vocabulaire non-conventionnel. Elle met le doigt là où ça fait mal et n’a pas nécessairement le souci de la pédagogie. Nos assemblées locales, en chemin d’inclusivité, représentent, à leur corps défendant, un ancien ordre, souvent hétéro-normatif et patriarcal, où les femmes s’excusent de parler et où les hommes interrompent souvent les femmes et les enfants car ils sont les patrons. Formulée dans son jus, exposée dans sa vérité, cette théologie a un fort potentiel libérateur mais aussi diviseur. Elle a le statut du citron dans la tarte au citron : pas assez, elle est fade et trop, elle est immangeable.
  • Un dernier écueil, dans le cas où vous ayez la chance d’avoir une paroisse ou un groupe assez conscientisé est d’aller très vite. Tous seuls. Le risque est, évidemment, théologique. À force de dénoncer les biais théologiques des autres (qu’on a vu), on va remplacer ces biais par les nôtres. Et c’est normal : on les a travaillés, choisis, ils ont fédéré tous ces gens à la marge autour de nous ! Et souvent des gens jeunes, drôles, un peu anti-conventionnels. Pas les éternelles Mme Schmidt et Mr Dupont. Mais là, il faut être lucide : la démarche n’est plus inclusive. On a juste reproduit un schéma qui est celui d’une mono-théologie qui se voit supérieure aux autres (la théologie de l’amour…) Bien entendu qu’au vu des avancées en termes d’égalité et de droits des humains, cette théologie est plus compatible à ces idéaux que d’autres théologies. Mais elle se perçoit comme la seule légitime et c’est là qu’elle devient auto-centrée. Elle risque le repli entre inclusifs, à moyen-terme. Et la génération suivante, qui ne sera pas élevée dans un contexte pluraliste, risque de ne pas être sensibilisée à la fois aux luttes passées mais aussi au vivre-ensemble. Et, pour d’autres défis d’inclusion qui s’en viennent avec les migrations Sud-Nord, inscrire l’inclusivité dans la pluralité de l’Église est essentiel.

Joan Charras-Sancho, Illkirch-Graffenstaden le 11/12/2019

[1] http://carrefour-chretiens-inclusifs.blogspot.fr

[2] http://scd-theses.u-strasbg.fr/2508/01/VILBAS_Jean_2011.pdf

[3] Pour lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres ; l’acronyme, gênant par sa juxtaposition cumulative, va au-delà de la seule diversité des pratiques sexuelles pour embrasser les diversités d’identité de genre et de préférences affectives et/ou sexuelles.

[4] Cisgenre : né.e femme ou homme et à l’aise dans cette assignation.

[5] Hétérosexuel.le : attiré.e exclusivement par des personnes de l’autre sexe.

[6] Stéphane Lavignotte, « Une inclusivité qui s’ouvre à toute les différences » L’inclusion au quotidien dans la Fraternité de la Maison Verte (2006-2013), in : L’accueil radical : ressources pour une Eglise inclusive, Yvan Bourquin et Joan Charras Sancho (éd.), 2015, Labor et Fides, p. 47-67.

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