Eva Janadin termine un doctorat en histoire tout en enseignant. Lors de nos rencontres, que ce soit à la radio RCF-Alsace (lien actuellement indisponible) ou à la paroisse Saint-Guillaume de Strasbourg, j’ai été frappée à chaque fois par la clarté de ses propos mais aussi par sa présence rassurante et sa profonde authenticité. Eva, aux
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Joan Charras-Sancho, co-éditrice de L’accueil radical, a donné cette prédication au @LAB, à Genève (09/02/2020) et à la paroisse Saint Guillaume de Strasbourg, où elle est co-fondatrice et présidente de l’Antenne Inclusive (07/03/2020, veille de la Journée Internationale de lutte pour les droits des femmes). Le texte de prédication est 2 Samuel 13, soit le viol
Anne est une bibliste talentueuse, assez sage pour comprendre son auditoire et l’accompagner de là où il se trouve vers d’autres horizons. A l’initiative de plusieurs projets « catholiques d’ouverture », elle tient son bateau à flot au milieu de plusieurs tempêtes. Rencontre avec une femme de conviction et d’ouverture ! JCS : Anne, tu es bibliste mais aussi
Philippe Gonzalez, maître d’enseignement et de recherche en sociologie à Lausanne, s’intéresse tout particulièrement aux liens entre le pouvoir religieux et le pouvoir politique. Présent le samedi 14 septembre 2019 pour le goûter de rentrée de l’Antenne inclusive, il donnera une conférence sur le thème, brûlant d’actualité : Libertés et homophobie : le poids des chrétiens
Pasteur résolument luthérien de l’UEPAL, Christophe Kocher aime les projets audacieux. Il a une vision pour sa paroisse : celle d’être un lieu de rencontre et de partage où l’on ose parler de tout, sans tabous ni contrefaçons. Fidèle soutien de l’Accueil Radical dès le début, il s’est formé progressivement et il revendique maintenant, avec fierté,
Léon-Arthur, je ne prierai plus pour toi ! Un témoignage d’une lectrice Dans les années 80, j’ai prié tous les dimanches pour sa santé…. Et puis ce fut Charles-Amarin. Re-belote tous les dimanches à le citer durant la prière d’intercession. Moi, à l’époque, je n’avais jamais pensé dire à ces messieurs, qui ne m’avaient rien